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Suppléments naturels à Montréal-Nord pour soulager les douleurs articulaires

Au Centre Chiropratique Triangle Santé, nos chiropraticiens recommandent des suppléments naturels de haute qualité pour réduire l’inflammation, soulager les douleurs musculaires et articulaires, et améliorer la mobilité. Situé à Montréal-Nord, notre centre allie soins manuels et soutien nutritionnel pour optimiser vos résultats.

Les meilleurs suppléments recommandés par nos chiropraticiens

1. Curcumine – Anti-inflammatoire naturel puissant

La curcumine (500 à 1 000 mg/jour), extraite du curcuma, est reconnue pour ses effets anti-inflammatoires. Elle aide à réduire les douleurs articulaires, calmer les raideurs et favoriser la souplesse. Parfaite pour les personnes souffrant d’arthrose, tendinite ou douleurs chroniques. En savoir plus.

2. Boswellia serrata – Soulagement articulaire traditionnel

Le boswellia serrata (300 à 500 mg/jour) est utilisé depuis des siècles pour apaiser l’inflammation et protéger les cartilages. Idéal pour améliorer la mobilité et réduire les gênes liées à l’arthrose ou aux blessures sportives. Découvrir le boswellia.

3. Magnésium bisglycinate – Détente musculaire optimale

Le magnésium bisglycinate (200 à 400 mg/jour) aide à relâcher les tensions musculaires, réduire les crampes et soutenir le système nerveux. Sa forme hautement biodisponible en fait un complément idéal pour sportifs et personnes stressées. Voir les bienfaits.

Pourquoi choisir le Centre Chiropratique Triangle Santé à Montréal-Nord ?

  • Suivi personnalisé par des chiropraticiens expérimentés
  • Approche globale combinant soins manuels et suppléments naturels
  • Produits sécuritaires et de qualité professionnelle
  • Localisation pratique au cœur de Montréal-Nord

Bénéficiez d’une approche naturelle et efficace

En combinant suppléments naturels et soins chiropratiques, vous accélérez la récupération, réduisez la douleur et préservez la santé de vos articulations sur le long terme. Cette méthode est adaptée aux douleurs chroniques, aux blessures sportives et à l’arthrose.

📍 Centre Chiropratique Triangle Santé
6060 boul. Maurice-Duplessis, Montréal-Nord, QC
📞 Téléphone : 514-321-2121
Prenez rendez-vous dès aujourd’hui

« S » comme scoliose

Plus qu’un problème esthétique, une colonne vertébrale qui prend la forme d’un « s » peut s’aggraver à mesure que progresse la croissance et éventuellement entraîner des problèmes de santé.

« S » comme spirale

Imaginez un escalier en colimaçon. La scoliose idiopathique est une déformation en 3D de la colonne vertébrale qui est plus susceptible d’apparaître au moment des fortes poussées de croissance, le plus souvent à la puberté. Selon la gravité de l’affection, la déformation vertébrale occasionne une torsion du rachis plus ou moins importante et les vertèbres se déploient comme les marches autour de l’escalier pour éventuellement y entraîner, à mesure de sa progression, l’ensemble de l’appareil locomoteur (os, tendons, muscles, ligaments et système nerveux).

La scoliose peut occasionner la déformation du dos, du thorax, de l’abdomen et, dans les cas plus sévères, un affaissement de la cage thoracique et une compression des organes vitaux tels que le cœur et les poumons. Il est généralement accepté que 80 % des scolioses sont d’origine idiopathique, soit de cause inconnue.

Malgré cet état de fait, le facteur héréditaire demeure important à considérer, car la scoliose idiopathique est présente également chez d’autres membres de la famille dans 30 % des cas selon la scoliosis research society (SRS).

« S » comme profil standard

La scoliose est une pathologie qui touche majoritairement les individus de sexe féminin. La période la plus à risque pour développer une scoliose idiopathique est à l’adolescence. Pour de meilleurs résultats, il convient donc que le dépistage soit effectué tout juste avant l’apparition des premiers signes de la puberté.

« S » comme signe

Prenez quelques instants pour observer la posture de votre enfant. A-t-il toujours de la difficulté à se tenir droit ? L’une des bretelles de son sac à dos tombe continuellement ? Il est possible que votre enfant soit atteint de scoliose. Quelques signes vous mettront sur la piste :

  • Bascule des épaules
  • Omoplate proéminente
  • Taille asymétrique
  • Hanche plus haute
  • Bras plus éloigné d’un côté du bassin
  • Bosse dans le dos (gibbosité) en position penchée

« S » comme solution

La formation rigoureuse que suivent les docteurs en chiropratique leur permet d’évaluer le niveau de gravité d’une scoliose. Par des ajustements chiropratiques réguliers, qui sont des manipulations vertébrales spécifiques visant à rétablir l’équilibre neuromusculosquelettique, ils peuvent arriver à assouplir la colonne vertébrale et à améliorer l’équilibre postural du patient, ce qui, dans la majorité des cas, contribue grandement à soulager la douleur.

Des exercices thérapeutiques ciblés visant à renforcer les muscles de soutien d’une colonne vertébrale courbée peuvent également être prescrits afin d’aider à stabiliser la progression de l’incurvation.

« S » comme suivi

Puisque la scoliose est une pathologie évolutive, la clé pour de meilleurs résultats en est le dépistage précoce et le suivi régulier. Vous avez un doute que votre enfant soit affecté d’une scoliose ? Faites-le examiner par un professionnel du système neuromusculosquelettique. Votre chiropraticien sera en mesure de poser un diagnostic chiropratique et de faire une gestion clinique appropriée de la condition de votre enfant.

En aucun cas, la scoliose ne devrait être un frein à une vie active et épanouie. Demandez l’aide de votre chiropraticien.

Saviez-vous que…

Un accident, une chute, une traction inégale, la tension, le surmenage, les mauvaises habitudes de vie ou tout autre facteur susceptible de provoquer un léger désalignement d’une ou de plusieurs vertèbres peuvent entraîner une irritation de la racine des nerfs rachidiens. Appelé subluxation vertébrale, cet état empêche le bon fonctionnement du système nerveux, responsable des communications de l’ensemble du corps humain.

Une interférence dans les communications entre le cerveau et les différentes parties du corps peut donc occasionner des problèmes de santé.

Dernière mise à jour : juillet 2025

Bouger en classe pour la rentrée

Être actif en classe : un atout pour la santé et la réussite scolaire

On ne le dira jamais assez : une vie active, tant physique que mentale, joue un rôle essentiel dans le maintien d’une bonne santé, mais aussi dans la réussite scolaire. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) recommande 60 minutes par jour d’activité physique d’intensité modérée à élevée pour les jeunes âgés de 5 à 17 ans1. Pourtant, on estime qu’environ 40 % des enfants de 6 à 11 ans n’atteignent pas cette recommandation2. Considérant que nos écoliers sont assis 50 à 70 % de leur temps à l’école3, il est essentiel de les faire bouger davantage.

Les pauses actives

Les pauses actives permettent d’intégrer facilement du mouvement en classe. Elles durent de 5 à 15 minutes4 et offrent aux élèves l’occasion de bouger, de s’étirer et de se recentrer. Elles ne doivent pas être confondues avec la récréation ou les cours d’éducation physique.

Comment inclure des pauses actives dans la classe :

  • Déterminer le type d’activités qui conviendront à chaque groupe d’élèves.
  • Choisir la fréquence et les moments des pauses en fonction des besoins des enfants. Elles peuvent être spontanées ou planifiées, à condition qu’elles soient conformes aux objectifs fixés.
  • Opter pour des activités avec des instructions simples et claires.
  • Prévoir une activité relaxante pour faire retomber l’excitation.

Bienfaits sur le plan physique : l’activité physique régulière à l’école, par le sport, les jeux ou les pauses actives, améliore la santé cardiovasculaire, renforce les muscles et les os, et aide à maintenir un poids santé.

Bienfaits sur le plan mental : bouger stimule la circulation sanguine et l’oxygénation du cerveau, ce qui favorise la production d’endorphines et de sérotonine. Résultat : réduction du stress, meilleure concentration et amélioration des résultats scolaires6.

Bienfaits sur le plan émotionnel : l’activité physique augmente l’estime de soi, aide à gérer le stress et favorise des émotions positives. Elle encourage aussi l’interaction sociale, le travail d’équipe et l’apprentissage de la coopération7.

Envie d’une pause qui bouge ? Essayez Rap ta routine et visionnez la vidéo dès maintenant !

En route vers l’école

Outre les activités physiques aux récréations, dans les cours d’éducation physique et en classe, certaines écoles encouragent aussi le transport actif comme la marche ou l’utilisation du vélo.

Avantages du transport actif :

  • Développement des capacités cardiorespiratoires.
  • Contribution au maintien d’un poids sain.
  • Progression de l’autonomie et de l’indépendance.
  • Amélioration de la santé mentale.
  • Accroissement des compétences sociales.
  • Protection de l’environnement.

Intégrez de nouvelles activités pour bouger en classe sans frais avec le programme Concentr’action disponible sur le site chiropratique.com. Faites la routine en classe tous les jours !


Saviez-vous que…

Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : aucune référence médicale n’est requise pour le consulter, sauf pour les cas CNESST et SAAQ.

Ses soins sont couverts par la majorité des assurances privées. Le nombre de visites nécessaires dépend de la sévérité de votre condition et de vos objectifs en matière de santé. La durée des soins varie donc d’une personne à l’autre.

Dernière mise à jour : juillet 2025

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références

  1. Organisation mondiale de la Santé. Activité physique. Consulté le 5 octobre 2022. Lien
  2. Centdegrés. Activité physique à l’école : 6 bonnes raisons pour encourager les jeunes à bouger. 1 septembre 2017. Lien
  3. Ibid.
  4. TA@l’école. Les pauses actives à l’école primaire. 29 août 2022. Lien
  5. Ibid.
  6. ParticipACTION. Un corps actif pour un cerveau en santé : la formule gagnante ! 2018. Lien
  7. Ibid.
  8. Ibid.

Posture de lecture suggérée par les chiropraticiens

posture de lecture : conseils pour éviter les douleurs

La lecture est un passe-temps agréable et apaisant, que ce soit dans le confort de votre lit, sur une tablette ou bien installé dans un fauteuil. Cependant, cette activité, si simple en apparence, peut parfois entraîner des douleurs si l’on n’y prend pas garde. Adopter une posture adéquate peut faire toute la différence pour profiter pleinement de ce moment sans inconfort. Dans cet article, nous vous proposons des conseils pour lire en toute sérénité et éviter les douleurs liées à de mauvaises postures.

lecture au lit

Qui n’a jamais passé un moment à lire au lit ? Vous vous relevez après quelques heures penché sur votre bouquin favori et vous ressentez alors une grande douleur au cou. Saviez-vous qu’il est important de respecter certaines postures lorsque vous lisez au lit ?

symptômes

Lorsque vous lisez au lit, évitez d’être couché sur le ventre, la tête relevée et le menton pointant vers le haut. Vous diminuerez ainsi les risques d’irriter les facettes articulaires de la nuque. Les muscles voudront protéger les structures, ce qui augmentera la douleur. Normalement, la douleur diminue après quelques jours, le muscle se détend et le ligament se replace tranquillement. Cependant, un spasme musculaire prolongé peut causer un engorgement, provoquer des tensions et des maux de tête. Vous pourriez également ressentir des brûlures dans la région musculaire affectée.

lecture sur tablette

La posture fréquemment adoptée lors de la lecture sur une tablette numérique, caractérisée notamment par une flexion du cou accentuée sous le poids de la tête inclinée vers l’avant, peut avoir des conséquences sur la santé neuromusculosquelettique. Il existe une forte association entre une posture de la tête vers l’avant et une diminution de la force des muscles respiratoires. Cette posture est reconnue pour entraîner l’élongation musculaire, augmenter les problèmes de tunnel carpien et les risques de hernies discales. De plus, lorsque la tête est avancée d’un pouce vers l’avant, cela augmente son poids sur la colonne vertébrale de dix livres supplémentaires. Finalement, cette position augmente la compression des disques et peut causer une arthrite précoce.

symptômes

  • Maux de tête
  • Raideur de la nuque et du dos
  • Douleurs aux poignets et aux épaules
  • Engourdissements dans les mains et perte de la courbe naturelle du cou, pouvant mener à des problèmes d’arthrose à long terme

comment éviter les douleurs ?

  • Prenez des pauses régulièrement
  • Évitez de fléchir la tête vers l’avant de façon prolongée
  • Évitez les positions où votre torse est tordu
  • Dès les premiers inconforts, détendez-vous avec des mouvements circulaires du cou
  • Déposez votre tablette ou votre livre sur une table ou un coussin de lecture
  • Si ce n’est pas possible, soutenez vos coudes et gardez le dos le plus droit possible

une posture optimale pour la lecture

Privilégiez une chaise ou un fauteuil avec un bon soutien lombaire, les pieds à plat et les genoux à angle droit. Pensez à faire une pause de cinq minutes chaque heure pour bouger et étirer vos muscles.

Si vous avez des torticolis à répétition ou si une douleur causée par une mauvaise posture persiste plus d’une semaine, prenez rendez-vous avec votre docteur en chiropratique.

saviez-vous que…
Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : aucune référence médicale n’est requise pour le consulter, sauf dans les cas relevant de la CNESST et de la SAAQ. Ses soins sont couverts par la majorité des assurances privées. Le nombre de visites nécessaires dépend de la sévérité de votre condition et de vos objectifs de santé. La durée des soins varie donc d’une personne à l’autre.

La posture en classe

Tiens-toi droit !

Combien de fois avez-vous entendu cette phrase lorsque vous étiez plus jeune et à quelle fréquence la répétez-vous désormais à vos enfants ou à vos élèves ?

En tant que parents, vous êtes déjà sensibilisés à l’importance d’une posture adéquate pour préserver une bonne santé neuro-vertébrale. Vous vous assurez d’offrir à votre enfant un poste d’étude bien ajusté selon sa taille à la maison, mais qu’en est-il sur les bancs d’école ?

En tant que professeur, vous voyez sûrement vos élèves s’enrouler les chevilles autour des pattes de leur chaise, s’arrondir le bas du dos en s’allongeant le haut du corps sur leur bureau ou encore s’asseoir sur une jambe. En classe, il est souvent plus difficile de maximiser la posture de l’élève, car pupitres et chaises ne sont pas toujours ajustables.

Voici donc quelques #chirotrucs pour maximiser la posture de l’enfant dans son principal environnement d’apprentissage.

La bonne posture au pupitre

  • Les fesses sont collées au fond de la chaise.
  • Le dos est appuyé au dossier.
  • Les deux pieds sont plats au sol.
  • Le dos et le cou sont bien droits.

Si les pieds de l’enfant ne touchent pas le sol, il est possible d’utiliser une boîte ou de gros livres pour qu’il puisse y déposer les pieds. Pour de longues périodes de lecture, le livre peut être déposé sur le coffre à crayon afin d’éviter de fléchir le cou.

Il faut éviter de croiser les jambes

Cette posture crée un désalignement important du bassin et de la colonne vertébrale. Il est important que les pieds touchent le sol ; sinon, cela crée une pression derrière les cuisses et des tensions dans le bas du dos.

Capsule santé : posture en classe

Invitez les enfants de votre entourage à regarder une courte vidéo pour adopter une posture gagnante en classe !

Assis au sol, l’élève doit

  • S’asseoir en tailleur (jambes croisées, genoux repliés).
  • Garder le cou et le dos droits.
  • Relâcher les épaules et garder les coudes près du corps.
  • Se placer face à ce qu’il regarde pour ne pas tordre le cou et le dos.

L’importance de prendre des pauses

Rester assis longtemps dans une même position n’est pas recommandé. Il est donc important de prendre des pauses fréquentes en classe.

L’Association des chiropraticiens du Québec propose une routine d’exercices avec le vidéoclip Rap ta routine, qui présente des mouvements permettant aux élèves de :

  • stimuler leur système nerveux ;
  • redresser leur posture ;
  • mobiliser leur colonne vertébrale ;
  • délier leurs muscles et articulations ;
  • s’oxygéner.

L’utilisation du ballon « suisse » en classe

L’usage du ballon d’exercice en classe est de plus en plus populaire. On observe une meilleure posture, une meilleure concentration, plus de détente musculaire, moins de fatigue et moins de stress.

Le ballon ne devrait pas remplacer la chaise, mais servir d’alternative pour varier les postures au fil de la journée. Pour le confort et la posture de l’enfant, il doit être de la bonne dimension : l’élève doit pouvoir déposer les pieds au sol avec les genoux fléchis à 90 °.1

Besoin d’un conseil ?

Vous avez des questions pour maximiser le confort, la posture et la concentration de votre enfant ou de vos élèves ? Demandez conseil à votre chiropraticien.

Saviez-vous que…

Peu importe l’établissement d’enseignement agréé, le futur chiropraticien doit réussir les examens rigoureux du Conseil canadien des examens chiropratiques et satisfaire aux exigences de l’Ordre des chiropraticiens du Québec pour obtenir son permis de pratique.

Ce n’est qu’après cette réussite que le docteur en chiropratique peut recevoir et traiter des patients de façon autonome. Au terme de sa formation, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique et créer un programme de soins adapté à la condition physique, à l’âge et aux objectifs de santé de chaque patient.


Références

  1. Vifa magazine (6 octobre 2018). Quand le ballon d’exercice remplace la chaise d’école.

Dernière mise à jour : juin 2025. Source : capsule « Posture en classe ». :contentReference[oaicite:0]{index=0}

Un sac à dos approuvé par le chiropraticien

Pour beaucoup d’enfants, le choix d’un sac à dos se fait d’abord sur l’esthétique ou la marque. Pourtant, un sac mal choisi, mal chargé ou mal porté peut entraîner des douleurs au dos, au cou, à la tête ou aux épaules. Voici un guide simple pour la rentrée.

Le bon sac à dos

  • Matériau résistant et léger;
  • Bretelles larges (~5 cm), rembourrées et ajustables;
  • Sangles à la taille et au torse pour stabiliser;
  • Plusieurs compartiments pour mieux répartir le poids;
  • Dos rembourré pour le confort;
  • Le dessus ne dépasse pas le haut des épaules;
  • Le bas ne descend pas plus bas que les hanches.

Remplir son sac à dos

Ne gardez que l’essentiel pour la journée et répartissez le poids uniformément. Le poids total ne doit pas dépasser 10 % du poids de l’enfant au primaire et 15 % au secondaire. Placez les objets les plus lourds près du corps et les articles volumineux, pointus ou irréguliers vers l’extérieur.

Enfiler son sac à dos

Évitez de « lancer » le sac sur une épaule. Déposez-le plutôt sur une surface à hauteur de taille, puis enfilez une bretelle à la fois avant d’ajuster. Si l’enfant doit le soulever du sol, qu’il utilise la force des jambes en dépliant les genoux, dos droit.

Porter son sac à dos

Les deux bretelles doivent être portées et réglées pour que le sac épouse le dos sans se balancer. Il ne doit pas comprimer les épaules : vous devriez pouvoir glisser une main entre le sac et le dos. Attachez aussi les sangles de taille et de torse si le modèle en possède pour plus de stabilité.

6 signes que quelque chose cloche

  1. L’enfant se penche vers l’avant pour compenser le poids;
  2. Il hausse une épaule pour empêcher une bretelle de glisser;
  3. Le sac frappe le bas du dos ou les fesses en marchant;
  4. Il soutient le sac avec une main pour soulager la pression;
  5. Des marques de bretelles restent sur la peau après l’avoir enlevé;
  6. Il se plaint de douleurs au dos, au cou ou aux épaules.

Si vous observez un ou plusieurs de ces signes, le sac doit probablement être allégé, mieux ajusté… ou remplacé.

Quand demander de l’aide

Votre chiropraticien.ne peut vérifier l’ajustement du sac à dos de votre enfant et vous guider vers un modèle plus adapté à sa morphologie.


Saviez-vous que…

Le système nerveux gère la transmission des influx nerveux et coordonne les mouvements, sensations et fonctions des organes. En chiropratique, on considère que des interférences à cette circulation peuvent contribuer à divers problèmes de santé. En rétablissant une fonction neuro-musculosquelettique plus optimale, le corps mobilise mieux ses capacités de récupération.


Référence : Naître et grandir – Sac à dos : comment bien le choisir (consulté juillet 2025)

Dernière mise à jour : juillet 2025

Voyager sans douleur

Donnez aussi des vacances à votre dos, vos muscles et vos articulations. Un chiropraticien peut vous aider à voyager sans douleur.

Quel bagage choisir ?

Tout dépend bien sûr du type de voyage que vous effectuerez. Interrogez-vous : quelle sera la durée du voyage ? Ferez-vous plusieurs déplacements ou demeurerez-vous au même endroit ? S’agit-il d’un voyage d’aventure ou de repos ? Ces questions vous permettront, dans un premier temps, de faire un choix entre une valise et un sac à dos.

Pour un voyage à destination unique, la valise est pratique. Choisissez-en une sur roulettes avec manche télescopique ajustable : vous la transporterez presque sans effort, sans nuire à votre système neuromusculosquelettique. Évitez de soulever une lourde valise d’un seul bras ; faites-la rouler à côté de vous.

Le sac à dos de voyage répartit le poids sur tout le dos, à condition de bien l’ajuster. Utilisez les ceintures de taille et de poitrine pour stabiliser la charge ; portez toujours les deux bretelles et ajustez-les pour que le sac repose au-dessus des fesses.

Comment le remplir ?

Plus le bagage est grand, plus on est tenté de le remplir à pleine capacité… et plus on risque les blessures au dos, au cou et aux épaules. Dressez une liste 10 jours avant le départ et éliminez un item par jour. Si vous utilisez un sac à dos, faites un test : partez marcher 15 minutes avec, puis retirez ce qui s’avère superflu.

Comment le soulever et le transporter ?

Pour charger un bagage dans un coffre ou sur un tapis roulant, pliez les genoux, gardez le dos droit et forcez avec les muscles des jambes et des bras. Pour un sac à dos, posez-le d’abord sur une surface à hauteur de hanches, puis enfilez les deux bretelles et attachez les sangles.

Avant de partir, consultez votre chiropraticien pour des conseils adaptés à vos conditions de voyage !

Saviez-vous que…

Un accident, une chute, une traction inégale, le surmenage ou de mauvaises habitudes peuvent causer un désalignement vertébral (subluxation). Cela perturbe le système nerveux, pouvant entraîner divers problèmes de santé.

Le pelletage après une grande tempête en 2025

Saviez-vous qu’une pelle remplie de neige peut peser jusqu’à 11 livres¹? Avec les nombreux centimètres de neige qui tombent en moyenne au Québec tous les hivers, c’est dire tout le poids que vous devez soulever en pelletant! Il s’agit d’une excellente raison de préparer adéquatement votre corps à l’effort.

S’échauffer

Avant de passer à l’attaque, prenez le temps d’échauffer vos muscles. Faites le tour de votre pâté de maisons à la marche pendant environ un quart d’heure, montez et descendez les escaliers ou encore marchez sur place. Pour délier vos muscles et activer votre circulation sanguine, effectuez quelques étirements des cuisses et des bras, et terminez par des rotations du bassin et du tronc.

Dire NON aux accumulations

Le bulletin météorologique annonce une tempête qui s’étalera sur plus d’une journée? N’attendez pas qu’elle se termine pour commencer le déblaiement. Il est préférable de soulever de petites quantités plusieurs fois que d’entreprendre de déplacer d’un coup l’accumulation de plusieurs heures ou journées de précipitation.

S’outiller pour une bonne santé

Utilisez une pelle en aluminium antiadhésive et légère. Son manche doit être suffisamment haut, mais ne doit pas dépasser vos épaules. L’idéal est de vous munir d’une pelle de type «poussoir», pour que vous n’ayez pas à soulever la neige. Si vous le pouvez, procurez-vous une pelle au manche ajustable : elle servira à toute la famille!

Saviez-vous que…

Le mot «chiropratique» provient du grec et signifie «fait avec les mains». Le docteur en chiropratique est un professionnel de la santé de premier contact : vous pouvez donc le consul- ter sans être recommandé, à part pour les cas de CNESST et SAAQ. De par sa formation universitaire, le chiro- praticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins corres- pondant à votre condition physique, à votre âge et à vos objectifs de santé. La chiropratique centre sa philosophie, son art et sa science sur le maintien de l’homéostasie (équilibre) du corps hu- main et sur sa capacité innée de guéri- son naturelle. Elle ne se concentre pas uniquement sur les symptômes ou la douleur, mais cherche à identifier et à

soigner la cause du problème. La chi- ropratique vise le recouvrement et le maintien de la santé globale humaine via l’interaction des systèmes nerveux, musculaire et squelettique.

Pousser la neige

Nombre d’entorses lombaires et de hernies discales sont engendrées par une mauvaise technique de pelletage. Autant que possible,

poussez la neige. Si vous devez absolument la soulever, ne le faites jamais plus haut que la hauteur de vos épaules. Déplacez vos pieds dans la même direction que votre tronc, et évitez les mouvements de flexion-extension et de torsion du bassin, qui provoquent une tension indue sur les disques intervertébraux et les ligaments.

Prendre son temps

C’est lorsqu’un travail est effectué à la va-vite que les erreurs et les blessures surviennent le plus souvent. Travaillez à un rythme régulier, surtout si la neige est lourde et mouillée. Si vous vous sentez fatigué, n’hésitez pas à prendre une ou plusieurs pauses, et à reprendre la besogne plus tard.

Bien s’hydrater

La température sous zéro n’empêche pas votre corps de se déshy-drater. Gardez toujours une bouteille d’eau à la portée de la main, et buvez avant, pendant et après le pelletage, avant que la soif ne se fasse ressentir.

Écouter son corps

En cas de douleurs, appliquez de la glace sur la région affectée pendant 10 à 15 minutes et reposez-vous quelques heures. L’application de chaleur pourrait faire augmenter l’inflammation. Durant la journée, appliquez de la glace toutes les heures. Si l’inconfort persiste, consultez votre chiropraticien le plus rapidement possible.

Si vous souffrez de problèmes cardiaques, respiratoires, d’hyperten-sion, d’ostéoporose ou si vous êtes une personne âgée, laissez la tâche à d’autres! Une personne bienveillante de votre entourage saura certainement vous aider.

Si votre colonne vertébrale n’est pas dans un état optimal, vous risquez davantage de développer des problèmes lors d’une première bordée de neige. Le chiropraticien peut traiter et prévenir les blessures résultant d’un effort physique d’une intensité trop élevée mal effectué comme le pelletage.

¹ Pelletage-Neige. (s.d.). Ergonomie. https://www.cchst.ca/ oshanswers/ergonomics/snow_shovelling.html

La bonne posture en voiture

Le Québec est un vaste territoire. Vous êtes probablement nombreux à
avoir de la famille dispersée aux quatre coins de la province. Dans la majorité des cas, l’option de prendre la route est incontournable.
Qu’on parle d’auto, de char, de cylindrée, d’automobile, de bagnole, de
berline ou encore de véhicule, les qualificatifs ne manquent pas pour décrire une des inventions majeures du 20e siècle : la voiture. Ce dont il faut
se souvenir, c’est d’éviter de s’avachir au volant, et de demeurer vigilant
sans se crisper.
Afin d’éviter certaines douleurs reliées aux longs trajets, voici quelques
conseils pour améliorer votre posture au volant.

Le siège conducteur

Vous devez avoir le dos bien droit par rapport au volant. Une bonne posture
vous amène à pouvoir toucher le volant à l’aide de vos paumes sans décoller les épaules du dossier. Autrement dit, vos bras ne sont pas entièrement
en position d’extension.
Il est suggéré d’incliner le rétroviseur intérieur vers le haut. Ainsi, vous devrez
vous asseoir bien droit pour ne pas tordre le cou ou la tête. Par conséquent,
l’alignement de votre colonne vertébrale sera optimal et vous renforcerez
ainsi les muscles de la posture. Vous pouvez aussi ajouter à votre siège un
coussin lombaire. Cela réduira la fatigue musculaire associée à la position
assise prolongée. Vérifiez votre distance par rapport aux pédales, la hauteur
de votre siège et l’inclinaison du dossier. Il n’est pas recommandé d’appuyer
sur la pédale d’accélérateur ou de frein avec la pointe des pieds. Évitez donc
d’être trop éloigné des pédales.

L’appuie-tête

L’appuie-tête est conçu pour protéger votre cou. Le sommet de l’appuie-tête devrait être centré à la hauteur des oreilles et se trouver à moins
de 8 cm de l’arrière de votre tête.
.
Selon une étude canadienne sur l’utilisation des appuie-têtes, seulement
14 % des conducteurs canadiens ajusteraient correctement leurs appuie-têtes. Le manque de support vertébral, donnant lieu à un écart entre
l’appuie-tête et le cou, diminue la protection du cou en cas d’arrêt brusque
de la voiture.

Prenez le temps de bien
ajuster les équipements,
c’est important pour votre
sécurité et votre posture.

Le volant

Le positionnement de votre volant est aussi important. Lorsqu’il est inclinable et rétractable, la partie supérieure du volant doit être à la hauteur de
votre menton. Afin d’augmenter votre temps de réaction, il est recommandé de tenir le volant en positionnant vos mains à 9 h 15.

Les pauses

Profitez des pauses planifiées pour descendre de la voiture et vous dégourdir. Faites quelques étirements afin de soulager les tensions. Allongez et
pliez les genoux à quelques reprises. Faites des rotations aux chevilles. Balancez la tête d’un côté à l’autre en faisant des demi-cercles vers l’avant et
de chaque côté. Faites de légères rotations des épaules. Ces quelques étirements soulageront vos muscles pouvant être endoloris lors d’un long trajet

Saviez-vous que…
Peu importe l’établissement d’enseignement agréé par la Fédération chiropratique canadienne des organismes de réglementation professionnelle et
d’agrément des programmes d’enseignement ayant délivré le diplôme, le
futur chiropraticien doit s’inscrire aux examens rigoureux du Conseil canadien des examens chiropratiques et de l’Ordre des chiropraticiens du Québec afin d’obtenir son permis de pratiquer. C’est seulement après la réussite de ces examens que le docteur en chiropratique peut recevoir et traiter des patients de façon autonome. Au terme
de sa formation, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser un diagnostic chiropratique, ce qui lui permettra de créer un programme de soins correspondant à la condition physique, à l’âge et aux objectifs de santé de son patient.

Emprunt ou location d’une voiture

Si vous devez emprunter ou louer une voiture, n’oubliez pas de positionner
le volant, le siège et l’appuie-tête selon votre confort. Nous ne sommes
jamais trop prudents sur la route. De plus, vérifiez particulièrement l’emplacement des clignotants, des essuie-glaces et des lumières. D’une voiture à
une autre, ces fonctions peuvent varier d’emplacement.

Longs trajets

Si vous partez pour un long trajet, optez pour la position « autoroute ». Autrement dit, reculez l’assise de votre siège d’un cran, et baissez l’inclinaison
de votre dossier d’un soupçon. Vous serez moins raide au volant et limiterez
ainsi les tensions musculaires provoquées par ces longs trajets assis.

#chirotrucs

  • En cas de longs trajets, optez pour des vêtements amples et
    confortables afin de ne pas gêner votre circulation sanguine.
  • Faites des pauses toutes les 2 heures pour vous dégourdir les jambes et
    les bras, et éviter ainsi les risques de somnolence.
  • Gardez toujours des vêtements chauds et une trousse de secours dans le
    coffre de votre voiture.
    Pour plus de conseils, visionnez la vidéo avec Daniel Melançon : bit.ly/chirotrucvoiture

Rappelez-vous que votre corps absorbe les vibrations de la route, les
virages, les vitesses d’accélération et de décélération. Si vous ressentez
des douleurs lancinantes, localisées ou étendues, dans le dos ou ailleurs,
n’hésitez pas à consulter votre docteur en chiropratique.

Références
1. CAA-Québec. (s.d.). Liste aide-mémoire de préparation à la
conduite. https://www.caa.ca/app/uploads/2021/02/Liste-aide-memoire-de-preparation-a-la-conduite-v2.pdf
2. Conseil canadien de la sécurité. (s.d.). Un appuie-tête correctement ajusté peut prévenir les blessures. https://canadasafetycouncil.
org/un-appuie-tete-correctement-ajuste-peut-prevenir-les-blessures/?lang=fr
3. Gervais. R. (2008, 25 septembre). La bonne posture pour
bien conduire. La Presse. https://www.lapresse.ca/auto/
conseils/201109/12/01-4440015-la-bonne-posture-pour-bienconduire.php
4. Driving tests. (s.d.). 10 and 2 driving no more? How to hold the
steering wheel correctly. https://driving-tests.org/beginner-drivers/
how-to-hold-a-steering-wheel/

Les troubles de la mâchoire

Nous mangeons. Nous parlons. Nous bâillons. Nous rions. Nous
crions. Nous respirons. Nous mordons. Nous embrassons. Nous sifflons. Nous chuchotons, etc. C’est entre 1500 et 2000 fois que la
mâchoire est utilisée chaque jour. C’est donc une articulation du
corps humain que nous avons tout intérêt à garder dans un état de
fonctionnement optimal.

Une articulation originale

La mâchoire, ou l’articulation temporo-mandibulaire est la seule articulation dite suspendue du corps humain. Elle peut bouger de haut en
bas, de gauche à droite et de l’avant vers l’arrière. L’articulation temporo-mandibulaire vient en paire, nous en avons une de chaque côté du
visage. Ces deux articulations doivent absolument fonctionner dans
un parfait synchronisme sinon, il peut en résulter des complications
très inconfortables. Comme toutes autres articulations composées
d’os, de muscles, de disques, de cartilages, etc., la mâchoire est sujette
à des problèmes d’ordre neuromusculosquelettique.

Saviez-vous que…

Un accident, une chute, une traction
inégale, la tension, le surmenage, les
mauvaises habitudes de vie ou tout
autre facteur susceptible de provoquer
un léger désalignement d’une ou de
plusieurs vertèbres peuvent entraîner
une irritation de la racine des nerfs
rachidiens.
Appelé subluxation vertébrale, cet
état empêche le bon fonctionnement
du système nerveux, responsable des
communications de l’ensemble du
corps humain. Une interférence dans
les communications entre le cerveau
et les différentes parties du corps peut
donc occasionner des problèmes de
santé.

Les causes des dysfonctions de la mâchoire

Les causes des troubles de la mâchoire peuvent être multiples. Une
surutilisation des muscles de la mâchoire et des tensions de nature
psychologique peuvent occasionner des serrements et des grincements de dents, appelés bruxismes. Mâcher de la gomme de manière
abusive ou utiliser ses dents pour ouvrir un contenant peut favoriser
l’apparition d’un trouble de l’articulation temporo-mandibulaire et
causer des douleurs.
Si votre mâchoire fait entendre des sons de cliquetis, si vous ressentez
un frottement en ouvrant la bouche, si vous avez des douleurs lancinantes devant l’oreille, si votre mâchoire bloque à la mastication, il se
peut également que ces inconforts soient causés par :
– Blessure sportive/automobile
– Dégénérescence articulaire

– Caractéristique faciale qui cause un mauvais alignement
– Trouble dentaire
– Hypermobilité de la mâchoire
– Etc.

Les soins chiropratiques

Vous ressentez de la douleur à la mâchoire ? Elle claque, craque ou
bloque ? Faites-la examiner par votre chiropraticien de famille. Dans
un premier temps, il observera les mouvements de votre mâchoire et
poursuivra son examen en palpant les muscles de manière à déterminer si des tensions musculaires peuvent être la cause de vos douleurs.
Une subluxation vertébrale à la région cervicale peut également occasionner des douleurs irradiant jusqu’à l’articulation temporo-mandibulaire et inversement, des inconforts à la mâchoire peuvent causer
des blocages à la nuque engendrant des maux de tête. L’examen des
articulations cervicales fait donc partie de l’évaluation de votre chiropraticien.
Une bonne occlusion, notamment au niveau des molaires, est également essentielle afin d’assurer le fonctionnement optimal de l’articulation temporo-mandibulaire. À la suite de l’examen préliminaire,
le chiropraticien sera en mesure de déterminer si la source de vos inconforts est de nature neuro-musculo-squelettique. Dans la négative,
il vous dirigera vers le professionnel de la santé approprié et travaillera
de concert avec ce dernier de manière à assurer une qualité de vie
maximale à son patient.
Les soins chiropratiques auront comme objectif le rétablissement du
mouvement optimal de l’articulation et le maintien de son bon fonctionnement. En travaillant les tissus mous de la mâchoire, la détente
de la musculature contribuera au retour d’un mouvement optimal. Le
docteur en chiropratique analysera également avec son patient ses
habitudes de vie qui peuvent parfois être la source des inconforts de la
mâchoire, comme dormir sur le ventre par exemple

Suivez les recommandations personnalisées de votre chiropraticien
pour le fonctionnement optimal de toutes vos articulations.

Référence
1 Wieckiewicz, M., Boening, K., Wiland, P., Shiau, Y. Y., & Paradowska-Stolarz, A. (2015). Reported concepts for the treatment
modalities and pain management of temporomandibular disorders.
The journal of headache and pain, 16, 106.