«S» comme scoliose

Plus qu’un problème esthétique, une colonne vertébrale qui prend la forme d’un «s» peut s’aggraver à mesure que progresse la croissance et éventuellement entraîner des problèmes de santé.

«S» comme spirale

Imaginez un escalier en colimaçon. La scoliose idiopathique est une déformation en 3D de la colonne vertébrale qui est plus susceptible d’apparaître au moment des fortes poussées de croissance, le plus souvent à la puberté. Selon la gravité de l’affection, la déformation vertébrale occasionne une torsion du rachis plus ou moins importante et les vertèbres se déploient comme les marches autour de l’escalier pour éventuellement y entraîner, à mesure de sa progression, l’ensemble de l’appareil locomoteur (os, tendons, muscles et ligaments et système nerveux). La scoliose peut occasionner la déformation du dos, du thorax, de l’abdomen et, dans les cas plus sévères, un affaissement de la cage thoracique et une compression des organes vitaux tels que le cœur et les poumons. Il est généralement accepté que 80 % des scolioses sont d’origine idiopathique, soit de cause inconnue 1 . Malgré cet état de fait, le facteur héréditaire demeure important à considé-rer, car la scoliose idiopathique est présente également chez d’autres membres de la famille dans 30 % des cas selon la Scoliosis Research Society (SRS) 2 .

Vous craignez la présence d’une scoliose chez votre enfant? Demandez conseil à votre chiropraticien. Les docteurs Mehdi Bouhraoua et Henri Therrien, chiropraticiens, seront ravis de voir vos enfants d’âge préscolaire et scolaire. Nous offrons même des tarifs préférentiels pour les traitements pédiatriques.

«S» comme profil standard

Assurez-vous que le sac à dos ne contient que ce dont l’enfant a besoin pour la journée et que le poids y est distribué uniformément. Le poids total d’un sac rempli ne devrait pas dépasser 10 % du poids de l’enfant du primaire et 15 % pour l’élève du secondaire³. Mettez les objets les plus lourds près du corps et les plus volumineux, pointus ou de forme irrégulière vers l’extérieur, loin du dos.

«S» comme signe

Prenez quelques instants pour observer la posture de votre enfant. A-t-il toujours de la difficulté à se tenir droit? L’une des bretelles de son sac à dos tombe continuellement? Il est possible que votre enfant soit atteint de scoliose. Quelques signes vous mettront sur la piste :

communications de l’ensemble du corps humain. Une interférence dans les communications entre le cerveau et les différentes parties du corps peut donc occasionner des problèmes de santé.

• Bascule des épaules;

• Omoplate proéminente;

• Taille asymétrique;

• Hanche plus haute;

• Bras plus éloigné d’un côté du bassin;

• Bosse dans le dos (gibbosité) en position penchée.

Saviez-vous que…

Un accident, une chute, une traction inégale, la tension, le surmenage, les mauvaises habitudes de vie ou tout autre facteur susceptible de provoquer un léger désalignement d’une ou de plusieurs vertèbres peuvent entraîner une irritation de la racine des nerfs rachidiens. Appelé subluxation vertébrale, cet état empêche le bon fonctionnement du système nerveux, responsable des communications de l’ensemble du corps humain. Une interférence dans les communications entre le cerveau et les différentes parties du corps peut donc occasionner des problèmes de santé.

«S» comme solution

La formation rigoureuse que suivent les docteurs en chiropratique leur permet d’évaluer le niveau de gravité d’une scoliose. Par des ajustements chiropratiques réguliers, qui sont des manipulations vertébrales spécifiques visant à rétablir l’équilibre neuromusculosquelettique, ils peuvent arriver à assouplir la colonne vertébrale et à améliorer l’équilibre postural du patient ce qui, dans la majorité des cas, contribue grandement à soulager la douleur. Des exercices thérapeutiques ciblés visant à renforcer les muscles de soutien d’une colonne vertébrale courbée peuvent également être prescrits afin d’aider à stabiliser la progression de l’incurvation de la colonne vertébrale.

«S» comme suivi

Puisque la scoliose est une pathologie évolutive, la clé pour de meilleurs résultats en est le dépistage précoce et le suivi régulier. Vous avez un doute que votre enfant soit affecté d’une scoliose? Faites-le examiner par un professionnel du système neuromusculosqueletti-que. Votre chiropraticien sera en mesure de poser un diagnostic chiropratique et de faire une gestion clinique appropriée de la condition de votre enfant.

En aucun cas, la scoliose ne devrait être un frein à une vie active et épanouie. Appellez au 514-323-6321 pour une consultation avec nos chiropraticiens.

Conseils de chiro pour les courbatures

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi vos muscles sont endoloris après un entraînement? La douleur musculaire d’apparition retardée en est peut-être la cause. Ce type de douleur peut réduire votre amplitude de mouvement ainsi que votre force musculaire et elle apparaît de 24 à 48 heures après une nouvelle activité, un nouvel exercice ou un entraînement d’intensité plus élevée. C’est le signe que vos muscles s’adaptent à de nouvelles charges.

On attribue souvent la douleur musculaire d’apparition retardée à une accumulation d’acide lactique. Or, l’acide lactique disparaît des muscles dans les deux heures suivant la fin de l’entraînement. La musculation entraîne des microdéchirures dans les fibres musculaires et augmente du même coup la circulation sanguine et l’inflammation dans la zone concernée, entraînant parfois une légère enflure, ce qui stimule les récepteurs de douleur des tissus musculaires et les rend plus sensibles au mouvement. Les lésions musculaires sont cependant temporaires et au fur et à mesure que le muscle se reconstruit, il devient plus fort et peut supporter des charges plus lourdes.

Comment composer avec la douleur musculaire d’apparition retardée?

Bien que cette douleur s’inscrive dans un processus naturel qui indique que votre corps se renforce, vous pouvez diminuer l’inconfort. Voici quelques conseils :

  • Plus d’exercice, voilà le meilleur remède! Optez pour un entraînement plus doux, comme une activité cardiovasculaire légère ou des étirements et du yoga, une journée ou deux après un en- traînement intense. Augmentez l’intensité de nouveau lorsque la douleur a disparu.
  • Intégrez les nouveaux exercices graduellement sur une période d’une à deux semaines afin de laisser à votre corps le temps de s’adapter.
  • Échauffez-vous plus longtemps avant votre séance de musculation.

La douleur ne diminue pas après trois jours? Prenez rendez-vous avec votre chiropraticien au 514-323-6321 ou en nous contactant directement par courriel au info@chiropraticien-montreal-nord.com.

  • Prenez un bain au sel d’Epsom. Le sel d’Epsom contient du magnésium, ce qui favorise la relaxation musculaire et la circulation sanguine.
  • Changez votre routine. Si vous faites des exercices pour les jambes une journée, travaillez les bras et le tronc le lendemain. Ainsi, vous donnez à chaque groupe de muscles le temps de récupérer.
  • N’oubliez pas de boire beaucoup d’eau et de refaire le plein d’électrolytes en adoptant une alimentation équilibrée faisant la part belle aux fruits et légumes. Les légumes-feuilles et les bananes sont deux excellentes options.

Saviez-vous que…

Le système nerveux est responsable de l’envoi, de la réception et du traitement des influx nerveux, courant électrique qui parcourt les nerfs jusqu’au cerveau, qui en retour dicte au corps ses mouvements, réactions et sensations. Son rôle est de contrôler l’ensemble des muscles du corps humain, de gérer les informations sensorielles et de réguler le fonctionnement des organes.

La chiropratique s’appuie donc sur la notion qu’une interférence à la circu- lation de l’influx nerveux, qui alimente chacune des cellules, tissus et systèmes du corps humain, peut occasionner des problèmes de santé. Le rétablissement de la circulation normale de l’influx nerveux, par des soins chiropratiques, permettra au corps humain d’utiliser sa capacité inhérente à enclencher les processus de récupération, de cicatrisation et de rétablisse- ment à son plein potentiel.

Voici des signes pouvant indiquer que votre douleur est plus sérieuse qu’une douleur musculaire d’apparition retardée :

  1. La douleur ne diminue pas après trois jours.
  2. La douleur est si aiguë qu’elle vous empêche d’accomplir vos tâches quotidiennes.
  3. La douleur est si aiguë que vos jambes vous manquent.
  4. Enflure importante, rougeur, décoloration ou crampes douloureuses.
  5. La douleur est très intense, signe possible d’une entorse/foulure.

Si l’un ou l’autre de ces symptômes vous inquiète, votre chiropraticien Dr. Mehdi Bouhraoua peut effectuer une évaluation complète et vous proposer des stratégies de gestion de la douleur non pharmacologiques, des étirements ou des traitements manuels. Si la cause de la douleur ne relève pas du champ de compétences de la chiropratique, il vous dirigera vers le professionnel de la santé approprié.

Sources
 
Association chiropratique canadienne. (2020, 26 février). Qu’est-ce qui cause les courbatures après un entraînement?. https://chiro- practic.ca/fr/quest-ce-qui-cause-les-courbatures-apres-un-en-  trainement/
a « Les DOMS (Delayed onset muscle soreness) sont appelés, en français, « douleur musculaire d’apparition retardée » ou, plus com- munément, « courbatures ». » Consulter en ligne

SKI DE FOND

Selon l’Institut national de santé publique du Québec, en 2015, 11,5 % des Québécois de 6 ans et plus pratiquaient le ski de fond, ce qui représente 823000 personnes¹. Le ski de fond se pratiquant sur neige naturelle, les conditions d’enneigement influencent énormément la pratique dans certaines régions. Et ce, d’un hiver à l’autre!

Les soins prodigués par Dr Bouhraoua et Therrien, chiropraticiens, peuvent permettre aux fondeurs d’exercer leur passion avec le minimum d’inconfort et le maximum d’efficacité!

LE SKI DE FOND POUR TOUS LES TYPES DE SPORTIFS

Le ski de fond est l’un des sports les plus complets qui soient et qui se pratique à tous les âges. Il sollicite les jambes, les bras ainsi que le système cardio-vasculaire, en plus d’être un sport de glisse qui ne donne pas d’impact au sol.

Que vous ayez le goût de vous initier ou de le choisir comme sport d’entrainement hivernal, le ski de fond demeure une activité de prédilection afin de garder la forme. Le ski de fond s’est fortement modernisé en termes d’équipement, notamment avec l’arrivée de la technique du pas de patin au milieu des années 80.

La technique classique reste celle pratiquée par la plupart des utilisateurs de sentiers. Si sa condition physique le permet, le skieur peut varier ses sorties selon ses intérêts et les conditions météorologiques en alternant divers styles de pratique.

LE SKI DE FOND EST PEU RISQUÉ…

Règle générale, la pratique du ski de fond comporte peu de risque, surtout dû au fait que c’est un sport à faible impact sur les articulations et qu’il permet de faire bouger tous les groupes articulaires.

…MAIS SOYEZ PRUDENTS!

Néanmoins, la pratique d’un sport de glisse demande certaines précautions. Les fondeurs de tous âges peuvent être à risque d’avoir des douleurs au dos :

  • En style classique : la phase de propulsion de la jambe vers l’arrière provoque une hyperextension du dos (le dos s’arque vers l’arrière), ce qui peut irriter les articulations.
  • En technique de double-poussée de bras : la répétition de la flexion- extension du tronc peut être exigeante sur la colonne vertébrale. La non-utilisation des jambes demande une poussée forte et puissante.
  • Diminution de l’adhérence : lorsque les skis sont mal cirés ou si les conditions sont trop chaudes ou glacées, cela peut diminuer l’adhérence et peut exiger beaucoup de souplesse de la part des muscles de la hanche.

Saviez-vous que…

Un accident, une chute, une traction inégale, la tension, le surmenage, les mauvaises habitudes de vie ou tout autre facteur susceptible de provoquer un léger désalignement d’une ou de plusieurs vertèbres peuvent entraîner une irritation de la racine des nerfs rachidiens.

Appelé subluxation vertébrale, cet état empêche le bon fonctionnement du système nerveux, responsable des communications de l’ensemble du corps humain. Une interférence dans les communications entre le cerveau et les différentes parties du corps peut donc occasionner des problèmes de santé.

BLESSURES FRÉQUENTES EN SKI DE FOND

En clinique chiropratique, on observe notamment :

  • Des tendinites achilléennes à l’arrière du talon.
  • La typique douleur à l’aine.
  • Les lésions à l’épaule dites «d’accrochage» pouvant mener à des tendinites de la coiffe des rotateurs.
  • Les pathologies aiguës : on pense alors aux poignets, aux épaules ou au bassin qui sont plus exposés à des lésions osseuses.

LA CHIROPRATIQUE À LA RESCOUSSE

La chiropratique, par son orientation de soins neuromusculosquelettiques, devient une alternative de choix pour les fondeurs. Pour bien soigner une région musculosquelettique, il faut un bon diagnostic de la problématique. Les soins doivent être précis afin d’aider le corps à se rétablir le plus rapidement possible.

Le chiropraticien est un professionnel de la santé spécialement formé pour poser un diagnostic chiropratique de la condition et corriger les anomalies des mouvements vertébraux et des autres articulations. Il peut aider dans les lésions musculaires et proposer des exercices afin de minimiser les risques de rechute.

Références

¹ Institut national de santé publique du Québec. (Mars 2019). Étude des blessures subies au cours de la pratique d’activités récréatives et sportives au Québec en 2015-2016. https://www.inspq.qc.ca/ sites/default/files/publications/2525_blessures_activites_recrea- tives_sportives.pdf

Collaboration spéciale du Conseil chiropratique des Sciences du sport du Québec | ccssq.ca

AU VOLANT : ADOPTEZ UNE BONNE POSTURE !

Le Québec est un vaste territoire. Vous êtes probablement nombreux à avoir de la famille dispersée aux quatre coins de la Belle province. Sans compter les amis,  ou  encore la  belle-famille. Dans  la majorité des cas, l’option de prendre la route est incontournable. Afin d’éviter certaines douleurs reliées aux longs trajets, voici  quelques  conseils pour améliorer votre posture au volant.

LE SIÈGE CONDUCTEUR

Vous devez avoir le dos bien droit par rapport au volant. Une bonne posture vous amène à pouvoir toucher le volant à l’aide de vos paumes de mains sans décoller les épaules du dossier. Autrement dit, vos bras ne sont pas entièrement en position extension.

Il est suggéré d’incliner le rétroviseur intérieur vers le haut. Ainsi, vous devrez vous asseoir bien droit pour ne pas tordre le cou ou la tête. Par conséquent, l’alignement de votre colonne vertébrale sera optimal et vous renforcerez ainsi les muscles de la posture. Vous pouvez aussi ajouter à votre siège un coussin dorsal. Cela réduira la fatigue musculaire associée à la position assise prolongée.

Vérifiez votre distance par rapport aux pédales, la hauteur de votre siège et l’inclinaison du dossier. Il n’est pas recommandé d’appuyer sur la pédale d’accélérateur ou de frein avec la pointe des pieds. Évitez donc d’être trop éloigné des pédales.

L’APPUI TÊTE

Bien positionné, l’appui-tête est conçu pour protéger votre cou. Il doit être ajusté à 10 cm de votre tête, le milieu de l’appui-tête à la hauteur de vos yeux et le rebord supérieur à la hauteur des oreilles. Peu d’automobilistes négligent de faire cet ajustement important. Ce manque de support vertébral, donnant lieu à un écart entre l’appui-tête et votre cou, diminue la protection de votre cou lors d’un coup de fouet cervical en cas d’arrêt brusque de la voiture.

LE VOLANT

Le positionnement de votre volant est aussi important. Lorsqu’il est inclinable et rétractable, la partie supérieure du volant doit être à la hauteur de votre menton. Afin d’augmenter votre temps de réaction, vous devez tenir le volant en positionnant vos mains à 9 h 15.

LES ARRÊTS

Profitez de chaque arrêt pour descendre de la voiture et vous dégourdir. Faites quelques étirements afin de soulager les tensions. Allongez et pliez les genoux à quelques reprises. Faites des rotations aux chevilles. Balancez la tête d’un côté à l’autre en faisant des demi-cercles vers l’avant et de chaque côté. Faites de légères rotations des épaules. Ces quelques étirements stimuleront votre système nerveux.

EMPRUNT D’UNE VOITURE

Si vous devez emprunter la voiture de quelqu’un d’autre, n’oubliez pas de positionner le volant, le siège et l’appui-tête selon votre confort. Nous ne sommes jamais trop prudents sur la route. De plus, vérifiez particulièrement l’emplacement des clignotants, des essuie-glaces et des lumières. D’une voiture à une autre, ces fonctions peuvent varier d’emplacement.

LONGS TRAJETS

Si vous partez pour un long trajet, optez pour la position « autoroute ». Autrement dit, reculez l’assise de votre siège d’un cran, et baissez l’inclinaison de votre dossier d’un soupçon. Vous serez moins raide au volant, et limiterez ainsi les tensions musculaires provoquées par ces longs trajets assis. Rappelez-vous que votre corps absorbe les vibrations de la route, les virages, les vitesses d’accélération et de décélération.

CONSEILS

  1. En cas de longs trajets, optez pour des vêtements amples et confortables afin de ne pas gêner votre circulation sanguine.
  2. Faites des pauses toutes les 2 heures pour vous dégourdir les jambes et les bras, et éviter ainsi les risques de somnolence.
  3. Gardez toujours des vêtements chauds et une trousse de secours dans le coffre de votre voiture.

Si vous ressentez des douleurs lancinantes, localisées ou étendues, dans le dos ou ailleurs, n’hésitez pas à consulter vos docteurs en chiropratique, Henri Therrien ou Mehdi Bouhraoua.

514-323-6321

Source et références: Association des chiropraticiens du Québec | chiropratique.com | facebook.com/AssoDesChirosQc | twit- ter.com@AssoChiroQc | blogue.chiropratique.com

Appui-tête: bien ajusté, c’est mieux pour votre sécurité! Saaq.gouv.qc.ca. Consulté le 11 mai 2017 https://saaq.gouv.qc.ca/securite-routiere/moyens-deplacement/auto/entretien-securite/appui-tete/

La gestion de la douleur

Les douleurs vertébrales, musculaires et celles liées au système nerveux ont de nombreuses causes, notamment les traumatismes phsiques, les mauvaises postures, les mouvements répétitifs, la surutilisation et l’usure. Ces douleurs peuvent être telles qu’elles empêchent de s’endormir, provoquant ainsi de la fatigue et une incapacité à se concentrer sur de simples tâches. Heureusement, il existe de nombreuses façons de réduire ces douleurs vertébrales, musculaires et celles liées au système nerveux.

1.    Les exercices

Les exercices aident à améliorer la force, la flexibilité et la mobilité articulaire. Il s’agit d’un aspect important de la santé globale et l’activité physique peut contribuer à réduire la douleur. Ils permettent aussi de lubrifier les articulations en stimulant la circulation des fluides. En outre, ils augmentent la circulation sanguine, ce qui accroît l’apport en nutriments aux tissus de l’organisme et favorise ainsi le processus de guérison. Les exercices sans port de poids (comme la natation) sont particulièrement conseillés pour la gestion des douleurs arthritiques. Demandez à votre chiropraticien de vous recommander des exercices et des étirements. Vous pouvez aussi consulter les conseils pour le dos qui figurent sur notre blogue (blogue.chiropratique.com), ils com- prennent des exercices et des conseils techniques bénéfiques pour l’ensemble du corps.

2.    La manipulation vertébrale

Des études récentes ont montré que la manipulation vertébrale peut réduire les douleurs dorsales et améliorer les fonctions. De nombreux patients constatent une augmentation de l’amplitude de mouvement ainsi qu’un soulagement immédiat de la douleur après une thérapie manuelle.

Consultez votre chiropraticien du Centre Chiropratique Triangle Santé (Docteur Bouhraoua ou Therrien) avant que votre douleur ne devienne chronique.

Saviez-vous que?

Un accident, une chute, une traction inégale, la tension, le surmenage, les mauvaises habitudes de vie ou tout autre facteur susceptible de provoquer un léger désalignement d’une ou de plusieurs vertèbres peuvent entraîner une irritation de la racine des nerfs rachidiens.
Appelé subluxation vertébrale, cet état empêche le bon fonctionnement du système nerveux, responsable des communications de l’ensemble du corps humain. Une interférence dans les communications entre le cerveau et les différentes parties du corps peut donc occasionner des problèmes de santé.

3.    La thérapie comportementale

Il a été prouvé que la thérapie cognitivo-comportementale est efficace pour réduire les douleurs chroniques. Les techniques de relaxation et d’adaptation peuvent aider à diminuer la tension musculaire, la pression sanguine et le rythme cardiaque. Il peut également être utile de réduire votre niveau de stress.

4. Les médicaments

Il a été démontré que certains médicaments sont bénéfiques pour la gestion des douleurs chroniques. Cependant, certains types de médicaments présentent un risque de dépendance. Avant de commencer tout traitement pharmaceutique, il est préférable de faire un premier pas vers la gestion de la douleur en optant pour un traitement qui n’implique pas la prise de médicaments. Si la médication semble être l’option à retenir, parlez-en à votre médecin de famille.

Les douleurs chroniques peuvent être gérées de nombreuses façons en plus des quatres présentées ci-dessus. Il est important d’envisager tous les traitements possibles avant de songer à prendre des médicaments. Pour toute question, consultez votre chiropraticien afin de trouver l’option qui vous conviendrait le mieux.

Sources et références

Association chiropratique canadienne. (2018, 3 janvier). Qu’est-ce que la douleur? 5 façons de gérer la douleur. https://chiropractic.ca/ fr/blogue/quest-ce-que-la-douleur-5-facons-de-gerer-la-douleur/

Revord, J. (2012, 10 décembre). Invasive Pain Management Tech- niques. Spine-health. https://www.spine-health.com/treatment/ pain-management/invasive-pain-management-techniques

Paige, N. M., Miake-Lye, I. M., Booth, M. S., Beroes, J. M., Mardian, A. S., Dougherty, P., Branson, R., Tang, B., Morton, S. C., & Shekelle, P.

G. (2017). Association of Spinal Manipulative Therapy With Clinical Benefit and Harm for Acute Low Back Pain: Systematic Review and Meta-analysis. JAMA, 317(14), 1451–1460.

L’importance d’un bon sommeil

Vous seriez surpris des bienfaits que peut procurer une bonne nuit de sommeil. Vous avez fort probablement déjà ressenti des changements dans votre humeur au lendemain d’une courte nuit : l’irritabilité, le manque d’énergie, un affaiblissement de votre organisme, une baisse de la vigilance ou de la performance et bien plus.

Ce n’est pas pour rien que vous passez en moyenne plus du tiers de votre temps à dormir : vos nuits de sommeil jouent un rôle essentiel sur le bon fonctionnement de votre corps, tout comme votre posture lors de celles-ci. Voici quelques #chirotrucs pour que vous vous endormiez sans avoir à compter les moutons et vous réveiller reposé.

Sommeil 101

Le sommeil est un état naturel du corps humain durant lequel il y a une perte de conscience, mais une préservation des réflexes. Dès la naissance, le repos favorise la croissance et le développement optimal de votre enfant en sécrétant les hormones nécessaires à cette fin. Il joue également un rôle essentiel de récupération physique et psychique, tout en stimulant les défenses immunitaires de votre organisme.

Le temps de sommeil nécessaire aux êtres humains est spécifique à chacun. Toutefois, des facteurs tels que l’âge, la nutrition, l’activité et bien plus l’influencent. Saviez-vous qu’un nourrisson dort en moyenne 16 à 19 heures par jour, contrairement à 8 heures chez un adulte ? Bien sûr, il existe différents types de dormeurs puisque certains auront besoin davantage de sommeil que d’autres pour bénéficier d’un repos optimal.

N’hésitez pas à demander conseil à Dr. Bouhraoua & Dr. Therrien, chiropraticiens, pour une bonne santé neuromusculosquelettique. 514-323-6321. Centre Chiropratique Triangle Santé.

Saviez-vous que…

Un accident, une chute, une traction inégale, la tension, le surménage, les mauvaises habitudes de vie ou tout autre facteur susceptible de provoquer un léger désalignement d’une ou de plusieurs vertèbres peuvent entraîner une irritation à la racine des nerfs rachidiens. Appelé subluxation vertébrale, cet état empêche le bon fonctionnement du système nerveux, responsable des communications pour l’ensemble du corps humain. Une interférence dans les communications entre le cerveau et les différentes parties du corps peut occasionner des problèmes de santé. Prendre soin de sa condition neurovertébrale est essentiel à une santé optimale. Soignez votre colonne vertébrale dans le cadre d’une routine santé complète, pour une vie active et une bonne forme physique.

La posture de sommeil

Votre sommeil n’est pas pleinement réparateur ? Vous est-il venu à l’esprit que votre posture de sommeil peut en être la cause ? La pos- ture que vous adoptez lorsque vous dormez a une influence sur votre sommeil et il existe plusieurs #chirotrucs pour mieux dormir sans que vous ayez à changer votre posture.

Vous dormez sur le côté ? Essayez de relever légèrement vos jambes vers votre poitrine et placez un oreiller, régulier ou « de corps » entre vos jambes. Si vous avez l’habitude de passer un bras sous votre oreil- ler, tentez de mettre le moins de poids possible sur celui-ci afin de limiter les problèmes de circulation ou une pression sur les nerfs. Vous éviterez ainsi les picotements ou engourdissements au réveil.

Vous dormez sur le dos ? Placez un oreiller sous vos cuisses, cela vous assurera une courbure lombaire neutre et un soulagement des ten- sions sur vos hanches et votre bassin.

Finalement, dormir sur le ventre est déconseillé car cette position ne respecte pas la courbure naturelle du corps. Elle exerce une tension sur le cou, entraîne une compression des nerfs et une raideur mus- culaire, qui peuvent provoquer des douleurs au réveil. De plus, cette position exerce une pression sur la cage thoracique, qui peut entraîner des difficultés respiratoires.

L’oreiller et le matelas comme alliés

Un oreiller optimal pour votre sommeil est un oreiller qui soutient votre tête, votre cou et vos épaules, il doit se modeler au contour de ces trois zones. L’épaisseur, la forme et la matière sont des critères à considérer pour le choix de cet oreiller, qui vous permettra de garder la tête alignée avec votre colonne vertébrale et ainsi d’éviter les cour- batures au réveil.

Tout comme l’oreiller, un bon matelas soutiendra votre corps conve- nablement et lui permettra de rester dans une position neutre en res- pectant la courbure naturelle de votre colonne vertébrale.

N’hésitez pas à demander conseil à votre chiropraticien pour des nuits de sommeil réparatrices et une bonne santé neuromusculosquelettique.

Sources et références

Malik, A. (2016, 9 octobre). Ergonomie du sommeil | Réveillez-vous sans douleur et plein d’énergie. Association chiropratique cana- dienne. https://chiropractic.ca/fr/blogue/ergonomie-du-som- meil-reveillez-vous-sans-douleur-et-plein-denergie/

Les douleurs chroniques

Pourquoi regretter une action posée et se mortifier avec des « J’aurais donc dû » ? Dans le cas de blessures au dos, c’est d’autant plus important d’agir et de consulter, car une blessure non traitée peut rapidement dégénérer et se transformer en douleur chronique.

Un mal sans discrimination

Jusqu’à 85 % de la population active pourraient éprouver des douleurs lombaires au cours de leur vie1. Ce mal agit sans distinction à l’âge, au genre, à la profession, personne n’est à l’abri! Croyant à tort qu’une douleur au dos partira d’elle-même, certains pourraient être tentés de l’ignorer afin de poursuivre leurs activités ou d’éviter un arrêt de travail. Pensez-y bien, car une blessure non traitée peut avoir des effets dé- vastateurs beaucoup plus importants sur la santé, le travail et le revenu si elle devient permanente par absence de soin. Une fois dans sa phase chronique, la douleur est alors beaucoup plus difficile à éradiquer et le temps nécessaire pour le rétablissement et le retour aux activités normales est d’autant plus long.

Les dangers de la chronicité

La première barrière de défense contre les maux de dos chroniques demeure une intervention précoce et adaptée. Toute douleur au dos débute par une phase aiguë qui, si elle n’est pas traitée de façon ef- ficace, peut évoluer en phase chronique. De toutes les causes possibles, les plus fréquentes sont l’absence de soins, le non-suivi des recommandations et, malheureusement, un diagnostic erroné. Le chiropraticien, de par sa formation universitaire rigoureuse, se trouve un choix tout indiqué afin d’évaluer, traiter et vous conseiller sur les bonnes habitudes à prendre pour enrayer ce problème, selon le diagnostic chiropratique posé.

Si la douleur persiste, ne tardez pas à consulter les Docteurs Therrien ou Bouhraoua, chiropraticiens, en appellant au 514-323-6321.

Agir pour éviter le pire

Il peut être tentant de s’allonger pour oublier un mal de dos, mais le repos au lit est la pire chose à faire dans ces cas. La sédentarité est l’ennemi numéro un du rétablissement, car la réduction ou l’absence d’activité physique peut atrophier les muscles, rendant la convales- cence plus lente et ardue. La rapidité d’intervention est la clé pour un prompt rétablissement et le chiropraticien est un professionnel de la santé de choix pour élaborer un plan d’action vers le rétablissement optimal des fonctions neuromusculosquelettiques.

Pour soulager la souffrance

Vous avez négligé les signaux d’alarme de votre dos et vous souffrez maintenant de manière chronique? La chiropratique est particulière- ment efficace au niveau du soulagement de la douleur causée par des problèmes articulaires ou musculaires. Par des manoeuvres visant à corriger les subluxations vertébrales, le chiropraticien peut contribuer à rétablir la mobilité des vertèbres, qui peuvent être la cause des inter- férences nerveuses et des douleurs musculaires pouvant favoriser la chronicité de la douleur. Le docteur en chiropratique conseillera éga- lement son patient atteint de douleurs chroniques sur ses choix ali- mentaires, le niveau d’exercices physiques, l’ergonomie de son poste de travail et la gestion du stress de manière à gérer la douleur pour qu’elle ait le minimum d’impact négatif sur le train-train quotidien.

Dites non à la douleur

Libérez-vous des statistiques en consultant le gestionnaire efficace de la douleur, le chiropraticien. Il vous accompagnera dans toutes les étapes de votre rétablissement.

Consultez votre chiropraticien, il saura vous conseiller pour une vie en santé!

Sources et références

1Malik, A. (2018, 9 mai). Douleurs lombaires: une épidémie au Cana- da. Association chiropratique canadienne. https://chiropractic.ca/fr/ blogue/douleurs-lombaires-une-epidemie-au-canada/

Association chiropratique canadienne. (2018, 3 janvier). Qu’est-ce que la douleur? 5 façons de gérer la douleur. https://chiropractic.ca/ fr/blogue/quest-ce-que-la-douleur-5-facons-de-gerer-la-douleur/

L’arthrose

La présence d’une subluxation peut favoriser la progression de la dégénérescence.

Contrairement aux croyances populaires, l’arthrose ne touche pas uniquement les personnes qui avancent en âge. Bien sûr, elles y sont plus vulnérables, mais tout le monde peut en souffrir. Pourquoi ? Comment donc la définir et surtout, comment la prévenir ?   Lire la suite

LES DOULEURS AU TRAVAIL

Vous ressentez de la gêne ou des douleurs spécifiques à votre travail? Les gestes répétitifs vous font souffrir? Vous avez de plus en plus d’inconfort à effectuer vos tâches quotidiennes professionnelles? Peut‐être souffrez‐vous d’un trouble musculo-squeletttique.

LES TMS EN BREF

Tendinites des épaules, syndromes du canal carpien, douleurs au coude, lombalgies… Les troubles musculo-squelettiques, appelés TMS, recouvrent une quinzaine de pathologies professionnelles. Ces troubles figurent parmi les problèmes de santé au travail les plus répandus. Les TMS atteignent les muscles, les tendons et les nerfs des membres supérieurs et inférieurs de votre corps. Lire la suite

C’EST LE 1er juillet ? ON DÉMÉNAGE !

Vous déménagez sous peu? Prenez les mesures nécessaires pour éviter les blessures neuro musculosquelettiques. Bouger les meubles avec le sourire et sans douleur c’est possible, à condition de s’y préparer adéquatement.

Chaque année, il y a une recrudescence de patients qui consultent en chiropratique durant cette période exigeante physiquement. Ceci n’étonne pas, lorsque l’on sait que beaucoup de gens, gagnés par la hâte et la fatigue, s’empressent de tout terminer sans se soucier de leurs muscles et de leur dos. C’est pourquoi les hernies discales, les lombalgies et les courbatures sont si fréquentes durant cette période. Lire la suite